Sens de l'orientation?! [PV Lindal]

La discretion. La capacité a passer inapercu, frapper et rester invisible. Lindal avait un grand respect pour ceux qui la prattiquaient, meme si ce n'était pas son domaine de prédilection car tuer en silence et en un coup manque de panache. Lindal préferait le combat dur et intense ou on a un ennemi et non une cible devant soi. Un superbe ennemi. En fait tous les ennemis sont superbes. Tous. Car tout ce qui vit peut etre tué. Absolument tout. C'est une regle. Ce genre de regles s'applique plus aux ennemis de Lindal qu' a lui meme. Ca aussi c est une regle. En chemin, Lindal tira son sabre pour admirer une fois encore sa magnificence mortelle. C'était un sabre long et effilé, fait pour couper et non pour trancher, qui permettait une souplesse dans le combat meme se il réduisait la puissance des coups donnés. Le fourreau, lui était laid. Il signifiait le repos, les moments ou l'on ne peut s'entrainer ou tuer. Lindal pensa ensuite aux merrenwens. La grande race comme il l'appelait. Une race respectant l'honneur et n'ayant besoin d'aucun commerce d'aucune sorte pour survivre. Elle était bien superieure a beaucoup d'autres races comme les humains. Les humains vivent parce qu'ils ne pensent pas avoir les choix. Meme si leurs facultés d'apprentissages étaient incroyables, en a peine 3000 ans et leur minable esperance de vie de 70 ans, ils avaient presque rejoint le niveau des autrres races. Ses déambulations vinrent le conduire jusqu'au domaine nain. Dans les crevasses de diamant plus précisement. Le vent glacial qui s'engouffrait dans cette passe toucha Lindal et la douleur irradia tout son corps. Le dernier combat qu'il avait mené l'aavait laissé couvert d'éstafilades avec en bonus une blessure plus importante au niveau de l'abdomen. Bien heureusement la lame était passée entre les cotes sans toucher ni vaisseau sanguin ni organe, mais l'hemmoragie était quand meme importante. En temps normal Lindal était habitué au froid, ne portant que sa longue cape pour etre pret a combattre a tout moment. Il tomba a plat ventre dans la neige, ne comprenant pas ce qui se passait. Puis il comprit: le coup de masse qu'il avait pri au genou avait été plus grave que prévu et maintenant Lindal boitait. Il trébucha encore une fois pour s'écrouler juste devant un oreiller improvisé. Avec une tete dessus. Et un corps attaché a la tete. Se relevant, il toisa l'individu et réalisa qu'il s'agissait d'une merrenwen. Il es releva, tenta d'effacer les traces de saang sur sa cape et s'enveloppa dans sa cape pour dissimuler ses blessures. Il détestait qu'on s'inquiete pouur lui. Il s'asseya sur un rocher et prit la parole.

"Vous dormez profondement. C' est bien. Mais le froid est mortel ici. Vous feriez mieux de vous lever."

"- Je me présente, Lily Anna Daurore, deuxième du nom.

-Daurore... Un nom qui en a fait frémir plus d'un. Tu as les yeux de ta mere... L'assasinat est une discipline qu'il faut des années pour acquérrir, mais la génération précédente est morte avant terme. Il serait dommage que tu meure ici avant que la nouvelle génération d'assasins ai vu le jour... Tu ne crois pas?"

Lindal se leva alors de son rocher, ou dumoins essaya de se lever. Son genou ne le portai plus vraiment et il failit tomber avant de se reprendre en esperant que la jeune Lily ne l'aie pas vu. Il devait faire preuve de tous les efforts du monde pour marcher sans boiter, chaque pas lui arrachant un petit rictus de douleur qu'il dissimmulait de son mieux.

" Mon nom n'a pas d'importance... Il faut trouver un abri. Je connais bien ces montagnes. J'y viens souvent pour chasser. On ne peut pas encore rallier le domaine nain. De nuit, ils tirent a vue sur tout intru. Je pense encore une fois qu'il serait dommage de se faire truffer de plomb juste apres avoir survécu a ce froid mordant."

Un hurlement se fit entendre,suivi d'autres. Des loups. Une meute de 20 tetes au moins. Et le vent portait l'odeur de Lindal droit vers eux. Et Lindal n'etait pas en etat de se battre. Et meme si il l'avait été cela n'aurait pas changé grand chose. Les loups de cette regions faisaient la taille d'un homme au garrot, avec des griffes de la taille de l'avant bras d'un enfant. Et des crocs encore pire. Lindal ne paniquait pas. Il avait revé de cette nuit pendant des années, mourrir sa lame a la main. La douleur le faisait a présent délirer, et il ouvra sa cape dévoilant toutes ses blessures et tira perfide, son épée reliée a une dague par une chaine et la contempla une derniere fois avant de hurler face au vent.

" C'est ca! Venez me chercher! Je vous atttend! Vous perirez par ma lame!"

Lindal reprit un moment ses esprits et dit dans un soupir au jeune assasin cette simple phrase.

"Il faut fuir."

fuir combattre mourrir boucher se cacher ecouter attendre trouver proche nain montagne grottes. Lindal entendait et comprenait tous ces mots individuellement mais il n'arrivait pas a les rassembler pour former un tout cohérant.La douleur atroce le faisait delirer si bien qu'il ne comprenait meme plus ce qu'il disait. La phrase formée par Lily lui paraissait soudain évidente: une grotte pour se cacher la ou les loups ne les poursuivraient pas. Malgré son esprit embrouillé Lindal n'oubliait pas la galanterie et montrant du doigt une caverne de glace dont l'ouverture n'était pas plus grande que les epaules de Lindal, ce dernier tenta d'énoncer une phrase cohérente:

"J'ai bien sans douleur, venez en arriere, je les avance."

Lindal sortit une nouvelle fois Perfide précedemment rangée avec cette fois ci la ferme intention de s' en servir. Il commenca a reculer dos a la paroi, lentement de facon a se rapprocher de la caverne sans perdre l'equilibre, chose non evidente puisqu il lui etait déja difficile de tenir debout.

Il tomba a genou dans la neige, et se releva en regardant d'un air accusateur sa jambe bléssée.

"La place de mon genou n'est pas a son endroit. je vais faire du silence."

Sur ce, il asséna un grand coup du peaummeau de son épée sur sa rotule déplacée ce qui eut pour effet de la remettre en place et arracha a Lindal un hurlement de douleur. ensuite il frappa a nouveau du peaummeau de son épée sa blessure intercostale avec un nouveau hurlement de douleur, ce qui eut l'effet désiré, le réveiller.

"Je m'sens mieux deja. Je devrais déja pouvoir me battre un peu. Je vais peut etre meme mourrir, marrant non? Non, je suis pas fou. Libre. Ah. Nos amis les loups arrivent. Dépeche toi d'aller dans la cachette mon petit tu seras gentil."

Il me montra une entré pas très large mais suffisante pour nous deux. Nous nous trainâmes jusqu'à elle lentement. L'homme sans nom s'immobilisa. Et enchena des phrase que je semblait iréaliste dans de telles conditions. De plus, il replaça sa rotule dans un bruit osseux et un hurlement de douleur provins de sa gorge. J'avais regardé ça dans le plus grand silence et dégout.

"Je m'sens mieux deja. Je devrais déja pouvoir me battre un peu. Je vais peut etre meme mourrir, marrant non? Non, je suis pas fou. Libre. Ah. Nos amis les loups arrivent. Dépeche toi d'aller dans la cachette mon petit tu seras gentil."

- Vous n'allez pas nous jouer les héros à présent ! Et puis je ne suis pas une gamine ! Je suis certaine que j'en tuerais plus que vous en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.

Je m'étais emporté. Je me rendis soudain compte qu'un trait de compétition et de gaieté avait résonné dans ma voix. Je croisa le regard de l'inconnu. Nous avions eut la même idée folle.

SE BATTRE

Déjà la meute composée d'une ventaine de loups s'avançaient vers nous. Je m'élançai vers un au pelage roux en lui enfonçant mon épée dans la gorge. Je voyais l'homme se battre avec agilité alors qu'il venait de se remettre une rotule en place. Il était déroutant !

Mais je ne réflachissais plus. J'étais devenu l'assasin qui faissait de moi une Daurore. J'étais bien la fille de mes parents ! Mes instincts s'étaient multipliés et je chassais telle un félin. Les corps des animaux s'étalaient autour de nous. Mais, un loup qui devait peser deux fois mon poids et mesurer trois fois ma taille se jetta sur moi et enfonça ses crocs dans mon épaule. Je sentis les os se craquer, la chair se brouiller, le sang jaillirent de tous côté. Par colère je lui donna un violent coups d'épée dans le crâne. Un coup qui fut meurtrier.

Je regardais autour de moi, il n'y avait plus de loups. Sans me préoccuper de l'inconnu que je ne voyais plus, je m'écroulais dans la neige pour clamer la douleur vive de mon épaule. Je déchirais ma cape et enroula le bandeau autour de mon épaule pour cesser le sang de sortir de mes veines. Mieux valait que j'ai froid que me vider de mon sang.