C'était une semaine après le combat contre Emil. Depuis, il ne cessait de penser à son combat. Pendant un instant, il pensait qu'il étai mort, puis un peu plus tard, il se tennait devant un homme inconscient, savourant une victoire qui n'était pas la sienne. Une force inimaginable avait pris le contrôle de son corps, lui redonnant la force de ses vingts ans et une puissance magique incroyable. Il avait d'abords pensé à la mort, cette sauvage, qui voulait tuer Farfo sur les mur de Palanthas. Elle aurait sauvé le vieil homme du combat en prennant possession de osn corps... Mais c'était stupide, le mort avait autre chose à faire que de jouer dans une arène..
Et si son but était plus grand?
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L'homme éclatta de rire. Il était grand et avec de large épaule. Il regardait à travers un orbe translucide, sur laquel se trouvait l'image de Farfo, une bière à la main, pensant à son combat. Le magicien qui fixait le jeune homme se retourna et fixa son immense portrait, couvrant son mur de marbre. Il avait des yeux percants, cruel et aide de pouvoir. Il tennait un épée maléfique à la main et un grand manteau noire, qui couvrait tout son corps.
Il sourit devant l'image et se retourna vers l'orbe. Il éclatta de nouveau de rire et se dit, comme pour lui-même:
-Qui aurait crut que moi, Kayak, le plus puissant sorcier d'Avalon, pourrait contrôler le monde? Bientôt, tout mon cataclysme se mettra en marche... Zerok comprendra alors mon génie..
Il se tourna vers le mur du fond, mais regardait trois autres portraits, semblable à l'autre:
-Tout cela, grâce à mes trois fils...
Les portrait affichaits de grands sourires, avec trois visages bien connus: Farfo, Emil et Walt Greataxe...
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Farfo était arrivé à l'arène. Il avait appris que toute la famille Flowright avait été bannie du tournoie. Ils n'avaient plus le droit de s'approcher de moins de un km du bâtiment. Les gardes voulurent emprisonné Emil dans le cachot, mais il avait, depuis le combat, disparue de la surface de la terre. Du moins... Il n'était plus à Avalon.
Farfo éguisa sa hache. Cette fois, les gardes le laissèrent passer, sans combattre. Il avanca, prit une grande respiration et pénétra dans la chambre ronde. C'était toujours difficile rester calme, alors que l'on rentrait dans cette salle fermée.
Heureusement, le porte allait bientôt s'ouvrir, pour le laisser pénétré dans l'arène, face à un adversaire qui lui était inconnu.
(Alors? Qui gagne? xD )