Flânerie [Libre]

Approchant du fleuve, Kaylid commença a percevoir doucement, le ronronnement régulier de l'eau. Tout en s'approchant du fleuve, il commençait a ressentir un sentation de liberté, de bien-être et de communion avec la nature.
Il pouvait à présent sentir l'eau carresser doucement les rochers sur lesquels elle coulait, et la douce odeur d'un primtemps bourgeonnant.

Il s'assit dans l'herbe et regarda son petit singe se baigner et essayer de pêcher un poisson.

C'etait une matinée magnifique. Le soleil rayonnait dans un ciel bleu azur parsemé de quelque nuage blancs, se refletant dans l'eau limpide du fleuve. Dans cette atmosphère détendu, Kaylid sortit son harmonica et joua un air doucereux.
Il ferma les yeux laissant les rayons balayer son visage et continua a jouer.
Il fut cependant dérangé : son petit singe tentait de prendre une pierre sur laquelle reposait le pied du jeune homme.

En regardant vers le fleuve, Kaylid s'apperçut que son singe tentait de faire un barrage pour attraper son poisson

" Héhé, t'es un p'tit malin toi, hein ?"

Il s'allongea alors dans l'herbe, pris un brin qu'il mit dans sa bouche, et observa le ciel camouflé par les hautes herbes autour de lui, bercé par le bruit de l'eau et celui des oiseaux et insectes dans le pré derrière lui.

Il avait semmer son passer....mais pour combien de temps...

L'ombre s'était installer devant un grand chêne au bord d'un petit ruisseau, les chant des oiseaux s'élevais de chaque coin de la nature. L'eau lechait les rocher qui s'élevais dans son lit. Au pied de la'rbre se trouvais un lit de roseau piétinés. Observant les trace laissé par l'animale, l'ombre en déduisit que sa proie était passer par là quelque minutes avant lui. Elle était de petite taille et elle boitait de la patte arrière gauche. Il ne devait pas tarder a lui tomber dessus. Elle cheminais seule, comme lui... Il caressa le tronc, l'écorce dure était recouvert d'une mousse spongieuse. Sa main se balladas dessus avant qu'il ne se remette a ses trousse. Le ciel était sombre, quoique dégager. Une brise légère soufflait, emenant quelques feuille avec elle. Énéon connaissais bien ces condition climatique, et il y était habitué. Il connaissais aussi les aléas de la chasse sur le bout des doigts. La traque avait enmenait l'ombre sur les sentier du bois. Il était rare qu'il ne reussise pas a avoir sa proie sans utiliser la magie. Mais, cette fois là, il en était a sa troisième jornée de chasse et avait déjà englouti la moitié de ses provisions. S'il ne ratrapais pas la biche, il n'aurait plus assez de vivre et il deverrais aller en ville. Debout dans la clareter solaire, Énéon était confiant. Il se dirigais vers un vallon niché dans la forêt, convaicut que sa proi si trouverais. Les cimes des arbre empêchaient de voir le ciel et projetait sur le sol des ombres plumetées. Le démon ne regardait plus que de temps en temps les traces laissées par sa proie : il savait ou aller.
Une fois dans la cuvette, il sortit rapidement Deal'strite, il fit un petit cercle avec. Sous un halo solaire se dessinaient une vingtaine de silhouette en train de paître. La biche que convoitait Énéon s'était détachée du troupeau, elle se trouvait au millieu de fleures jaune vif.

La chasseur s'approchat lentement, prêt a tirer. Il allait vivre l'aboutissement de trois jours de quete ! Il inspira une dernière fois a fond. Il se jettat sur le troupeau, tuant tout se qu'il pouvait, a la fin du massacre au cinzaine de cops recouvert l'herbe. L'ombre attrappas les corps et les préparas pour les mettre dans son sac corectement.

Quand il eu fini, il eu l'idée de retourner vers le ruisseau et le grand chêne. Son sac mit en bandouillèrent pesais son poid. La viande salé et mit dans des tissu était en grand nombre, donc assez lourde. Il arrivas rapidement au chêne il se faufilat dans l'arbre cacher dans le feuillage, quand il vus assis un peu plus près du ruisseau, un homme et un singe. Il marmonas, ne lachant pas lh'omme des yeux. Une envie de sang lui montait dangereusement a la bouche...

Toujours évaporé dans ses pensées, Kaylid regardait le ciel fixement.Cependant, un nuage vint couvrir le soleil, et fit disparaitre, en meme temps que la clarté des rayons, le visage épanoui de Kaylid : il avait sentit une présence près de lui.
Il se releva donc et lança un :

-Eh salut !

Mais en regardant plus attentivement il ne vit personne, seulement un grand chêne. Il ressentait tout de meme une présence humaine, et il n'y se trompait pas : Zéphyr ayant disparu, quelqu'un trainait surement dans le coin.

-Bah y'a personne ?

Le seul relief dans ce pré etait le grand chêne.S'approchant prudemment de celui ci, il y observa quelqu'un camouflé par les fueillages. La silhouette qu'il pu distinguer était un jeune homme, d'une élégance et d'une grace inhabituel.

*Humain ? ... ou autre ?*

D'un air enfantin, il demanda bêtement :

- Tu joue a cache-cache ?

N'obtenant pas de réponse il essaya de repérer le visage de cette mystérieuse personne jusqu'ici cahé derrière des feuilles. Une légère brise se leva et le fit frissoner, ou bien était-ce le visage qu'il pouvait a présent observer.
Le visage du jeune homme dégageait une impression d'assurance impressionante. Il avait une chevelure sombre, surmontant un visage taillé parfaitement, et ses yeux avait une couleur ambre, sombre, dans lesquels on ne pouvait lire que l'indifférence.
Kaylid commença a avoir un mauvais préssentiement. Il n'arrivais pas a savoir si cet homme était vraiment dangereux, ou si c'était le fait qu'il soit en hauteur par rapport a lui qui lui donnait ce sentiment d'insécurité ...

Ses instints de démon était en trait de re-surgissais...

L'ombre regardait le visage enfantin de sa nouvelle proie, il se demandait déjà comment la faire souffrir...Il se rapellas se qu'il avait fait sur son passage dans une ville, un anoncellement de cadavres au vétement gorgés de sang, juste a quelque pas de lui. Des corps tordus, des visages figés dans un rictus de douleurs. Autours des morts et de lui, le sol était rouge sombre. Il riait aux éclats...

Des hommes défigurés gisaient sur les corps de femmes qu'ils avaient en vain taché de protéger. Des mères sans vie serraientdes enfants dans leurs bras. Des amoureux qui avaient tenté de se servir réciproquement de bouclier demeuraient enlacés en une dernière étreinte. Jeunes ou vieux, personne n'avait été épargné. Tous était cirblés fléches noires. Et le pire, c'était cette lance acérée qui dépassaus du charnier, planter dans le corps d'un nourrisson.

Le démon qu'était Énéon revenait parfois, au moment les plus inatendut. Il se fessait de plus en plus puissant et dévastateur. Un sourrir sadique lui étirras les lèvres. Rapidement il sautat de l'arbre en un saletot, Deal'strite, serrer dans la main. Les jointure de ses mains, blanchit tellement il serrais le pommeau. La lame noir, scintillait dans un fin rayon de soleil.

On lui avait dit de ne pas jouer avec ses victimes, mais c'était plus fort que sa raison. Quand il avait une " crise " il n'était plus ta fait lui même, il était autre chose...

Je ne pense pas...

Sa voix avait été comme d'habitude froide et très seche, on aurais dit un serpent. Il était derrière l'homme, il lui tappotat l'epaule, il avait été si vite, qu'il n'imaginais pas qu'il est remarquer qu'il n'était plus dans l'arbre..

En un clin d'oeil, l'homme avait disparu, et Kaylid n'eut pas le temps de se retourner qu'une voix le fit sursauter, autant que la tape sur l'épaule. c'était une voix froide, sèche, dépourvu de toute émotion. Kaylid se retourna alors vivement et recula quelque peu. Cet homme était vraiment effrayant. Il pris alors son expression niaise pour lui parler et lui dit :
-T'es vraiment rapide toi !
Mais derrière son apparence enfantine, Kaylid était figé de stupeur.
*Je ne l'ai meme pas vu passer*
Face à cet homme glacial, il pencha la tete pour regarder derrière lui.
-T'es rapide mais tu ferais mieux de surveiller derrière toi ...
Il montrait légèrement du doigt derrière le jeune homme. Son singe était en train de manger un des bouts de viande voler dans le sac de son interlocuteur.
N'observant aucune réponse physique ou verbal, Kaylid regarda alors les mains de l'individu. Il serrait dans ses mains blanches, un grande épée, avec un rubis incrustée dans la garde. Cela ne prédisait rien de bon.

-Ooooups ...

Il regarda alors fixement les yeux de son interlocuteur, cherchant a déceler une trace d'un futur coup à venir, tout en préparant une parade apropriée.

» 02 - L'Aube Noire [Libre]
» Rencontre [Pv : Varian et libre]
» Au secour d'une ennemie public [libre]
» Trois millénaires d'attente ! [ Hakka / Libre ]
» Un aube parmis tant d'autres [ Libre.... YaY mon premier pos